Archives de la catégorie : Luvan

Poème audio mai Morceau de musique choisi par luvan pour accompagner la lecture du poème : Jasmine Wood, Piano Reverb Poème écrit « mai Je rêve d’une prairie beigeoù paissent des buffles tactiles – des doigts au lieu de sabots –En troupeau, ils prélèvent la potasse du sol.Je rêve de leur chanson tacite,qui tresse les nébuleusesenLire la suite « Mai »

Poème audio Morceau de musique choisi par luvan pour accompagner la lecture du poème : Tristwg Y Fenywod, Awen Poème écrit  » avril Je rêve d’une lave qui coule entre des étoiles d’or.Je rêve de bouches, çà et là, pour l’avaler,de bouches étirant la lave au plafond,de sorte qu’elle dépasse,boisson sans pareille,le seuil de la soif.Je rêveLire la suite « Avril »

Poème audio Morceau de musique choisi par luvan pour accompagner la lecture du poème : Kali Malone, Passage through the Spheres Poème écrit  » mars Je rêve d’un memento ventrudont le souvenir transperceles pensées.Même heureuses, mêmecombinées au bonheur.Je rêve d’un mori brouillonqui par son geste trace,émincé,le souvenir d’une très-mort à venir.Comme absoute,droite, ligne, trait.Je rêve de sa lenteur grenue,deLire la suite « Mars »

Poème audio février Morceau de musique choisi par luvan pour accompagner la lecture du poème : Shovel Dance Collective, The Moutain Steams where the Moorcocks Crow Poème écrit « Février Je rêve d’une vasque creuse,aqueuse.J’y souffle, appelcreux aux antipodes qui nous cernent.Orient, occident, septentrion, sud.Je rêve de cardinaux-néant aux formesde cristal.Je rêve d’un rien cristallin auxLire la suite « Février »

Poème audio Janvier Morceau de musique choisi par luvan pour accompagner la lecture du poème : Tor Invocation Band, 1970-2011 Poème écrit « Janvier. Je rêve d’une langue de sablesouvent à l’ombrede platanes. Leurs branchesla zèbrent– peinture savante, opera povera –d’un savoir strié en languettes précises.Je rêve qu’il me fautpousser à côté,pousser sihautque mon crâne perceLire la suite « Janvier »

Poème audio décembre à déposer Poème écrit « Décembre Je rêve d’une station couchée– moi dans la glaise –Je rêve d’une station couchée – portrait en bulbe –où la sueur sporadique de mes appendicesde mammifère nue– sapiens mais pas que – coulerait en syllabes drues,en suc orphique,en tangram oblique,jusqu’à former une sente menantà l’oubli. «  Vidéo à venir